mercredi 30 janvier 2013

Le musée of Everything

 Un conseil de visite par Cornelia
cliquez sur l'image pour l'agrandir

mardi 29 janvier 2013

Atelier du 29 janvier

femme aux perroquets

Michelle recrée un monde imaginaire rempli d'animaux

Acquarelli
 
 
"Le premier mérite d’un tableau est d’être une fête pour l’oeil."
Eugène Delacroix

 
non ce n'est pas un "Otto Nebel"

Stefano

Philippe

couché de soleil par Daniel

Daniel au pinceau

mardi 22 janvier 2013

Hubert CHATIN

Hubert CHATIN  expose du 22 janvier au 2 février à la maison du citoyen

16, rue du Révérend père Lucien Aubry à Fontenay sous bois
 
 
 
 
 

"Je mets dans mes tableaux tout ce que j'aime et tant pis pour les choses, elles n'ont qu'à s'arranger entre elles !
Le tableau n'est pas pensé et fixé d'avance. Pendant qu'on le fait, il suit la mobilité de la pensée. Et
fini, il change davantage, selon l'état de celui qui le regarde.
Un tableau vit ainsi sa vie, comme un être vivant et ne vit que par celui qui le regarde."
Picasso
1936


Atelier du 22 "La couleur"

Exposition d'Hubert Chatin


 
Hubert  a eu la bonne idée d'éditer un livret regroupant les peintures de son exposition.
Le vernissage a eu lieu ce soir à la maison du citoyen.
 
 

La femme et ses perroquets de couleurs
 

"deux frères"
Daniel

le baiser - grisaille
La grisaille, en peinture, est une technique picturale synonyme de chiaroscuro
Elle est utilisée également dans la technique du vitrail, en gris,
 par ajout d'oxydes métalliques avant la cuisson du verre.

 

Carnet de Stefano... fort interessant

 
"Le bélier"
 
Vient la question subjective du bon goût et de l'harmonie, car si tout le monde s'accorde pour dire que bleu marine et noir ne font pas des merveilles, qu'en est-il pour le rose et le rouge ?

Palette de couleurs
 
Que serait le monde sans couleurs ?? Les couleurs occupent une place si importante dans la vie de l'individu qu'il n'est pas étonnant qu'on leur octroie des significations spécifiques. Le rouge, à lui seul, est un univers de symboles. Il incarne la vie par son association au sang, l'amour par sa filiation au cœur, la colère, etc...

 

 
Peintures de Fabien

vendredi 18 janvier 2013

Philippe Chat


C’est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris le décès de Philippe Chat
 fondateur du Salon de l'éphémère, du festival "Graphisme dans la rue", et de la Galerule .
Nous tenions à exprimer notre amitié et notre soutien.
Toutes nos pensées vont vers Madame Chat, directrice de notre école d'art à Fontenay sous bois, dans ces moments difficiles.



Il n’habitait pas la ville mais y avait conçu des lieux emblématiques. Le codirecteur de l’école des arts plastiques et fondateur de la Galeru, Philippe Chat, est décédé samedi. « Les arts plastiques, c’était lui , vante l’adjoint à la culture à la mairie (PC), Michel Tabanou. C’était le débroussailleur du terrain des arts graphiques.
» Et de citer le Festival de l’éphémère dès 1988 et le Concours international d’affiches lancé en 2007. Sans oublier l’espace dédié à l’art de rue, la Galeru, installé dans une ancienne échoppe de cordonnier, rue Charles-Brassée, et dont la devanture interpellait à chaque exposition. « Il avait aussi profité de l’ouverture de la halle Roublot pour y monter des opérations », poursuit Michel Tabanou.


Actualité / Le graphisme en deuil  / étapes: design & culture visuelle
Philippe Chat

Philippe Chat est décédé le 22 décembre 2012, âgé de 58 ans. Pendant près d'un quart de siècle, avec sa compagne, Evelyne, il a contribué à Fontenay-sous-Bois, en banlieue parisienne, à donner au graphisme ses lettres de noblesse. Ce sont eux, en effet, qui ont initié le Salon de l'éphémère, en 1988, manifestation inédite dans le champ artistique. Chaque année, des dizaines de graphistes, illustrateurs, plasticiens occupaient les panneaux municipaux et divers espaces de la ville pour afficher des messages personnels, souvent résolument politiques. Ainsi, les Fontenaysiens, enchantés de l'aubaine, et au fil du temps un public bien plus large, ont pu apprécier les œuvres imprimées pour l'occasion de Michel Quarez ou de Thomas Hirschhorn, de Ben ou de Pierre di Sciullo, créées pour eux et détruites in fine (c'était la règle). Philippe Chat, bon connaisseur de l'affiche artistique et lui-même sérigraphe, s'est montré de plus en plus sensible aux qualités du graphisme contemporain : puissance de communication, renouvellement de l'esthétique de la lettre, maîtrise du signe, critique de la publicité et engagement social. Un autre événement est né en 1993, Graphisme dans la rue, offrant à des auteurs la possibilité d'intervenir librement sur des « thème citoyens » : l'urbanisme, le droit des femmes, etc. Là encore des noms prestigieux sont venus concourir ; en premier Gérard Paris-Clavel, puis Claude Baillargeon, les Graphistes associés, Michel Quarez, suivis d'une cohorte de jeunes graphistes « découverts » depuis, Malte Martin, Pascal Colrat, Ronald Curchod, Fanette Mellier et bien d'autres. En apposant des affiches dans l’espace public destinées à promouvoir réflexions individuelles et collectives, Philippe Chat cherchait à implanter un « laboratoire de nouvelles formes d’humanisme » selon les termes de Julia Kristeva qu'il revendiquait. Depuis 2007, Graphisme dans la rue s'est prolongé d'un concours international d'affiches qui, il faut l'espérer, survivra à son fondateur. Philippe Chat a également inventé à Fontenay un nouveau mode d'exposition : « La Galeru », une cordonnerie enchâssée dans des immeubles anciens mais disposant d'une large vitrine, rachetée par la ville et allouée aux artistes afin de montrer leur œuvre aux passants. La Galeru propose une programmation variée où le graphisme est privilégié : en 2009, Jean Widmer y fut à son tour accueilli. Philippe Chat n'a eu de cesse d'ancrer sa démarche et d'en renouveler l'ambition. Il s'est ingénié à multiplier les espaces propres à des interventions artistiques porteuses de sens : murs peints par Michel Quarez ou Simon Bernheim, inscriptions et installations typographiques pérennes de David Poulard, Anne-Marie Latrémolière ou Bruno Souêtre. Soit toutes les manières de circonvenir la rhétorique publicitaire ou l'univers uniformisé des tags, au profit d'une constante interrogation sur l'espace urbain et la communication qu'elle suppose, de la signalétique aux messages d'utilité publique. Il a impulsé des commandes par la ville questionnant la notion-même de mobilier urbain : voir la série de bancs d’artistes de Laurent Sfar et Laurent Simon. Enfin, il a accordé une place éminente à la pédagogie : au sein de l'école municipale des arts aussi bien que par la collaboration avec des écoles supérieures d'art comme celles de Cambrai, de Rennes ou les Arts décoratifs de Paris. Au-delà de l'aspect humain irréparable, la disparition de Philippe Chat sonne comme une autre mauvaise nouvelle en 2012 après la fermeture de la galerie Anatome. Il est à souhaiter que les années à venir soient pour le graphisme comme il les imaginait, sans oublier le riche patrimoine d'œuvres et d'expériences qu'il a su constituer.

Michel Wlassikoff



Un hommage devrait être rendu par des artistes dans la plus petite galerie d'art de France "la Galeru" dans le village à Fontenay sous bois.

mardi 15 janvier 2013

Atelier du 15


Photos effacées par Google.
 
De tout temps l'homme a aimé contempler un joli corps de femme, avec ou sans artifices.
Et le peintre, ou le sculpteur, aura toujours l'avantage sur le photographe de pouvoir regarder deux fois son modèle, de l'observer en nature et en train de se faire.




 
 

s lors, quoi de plus naturel que de se le représenter en peinture et l'artiste du XIXème siècle s'impose comme un incontestable spécialiste du genre. La femme a perdu ses formes avec l'arrivée de l'art moderne, les nus académiques, désormais jugés vulgaires, ont été mis à l'index. Doit-on continuer a en avoir honte ? La question semble redevenir d'actualité.










 
On entend généralement par "nu académique", d'abord un grand dessin abouti, ensuite une peinture ou encore une sculpture représentant un nu ou, rarement, plusieurs. L'académie se fait d'après un modèle vivant et c'est par ailleurs le nom donné aux cours de nu dispensé obligatoirement jusqu'en 1970 dans les écoles des Beaux-Arts. L'exécution du nu est soignée et naturellement toujours figurative. Les poses sont variées et la référence originelle à l'antiquité prendra avec le temps une importance toute secondaire.




Encre de chine à la plume et aquarelle de Stephano


Aquarelle de Stephano




Croquis de Stephano




 




De l'Antiquité en passant par la Renaissance, la représentation du corps a toujours occupé une place importante dans l'enseignement et le goût artistique occidental. Le dessin d'après modèle vivant devient d'ailleurs au XIXème siècle la dernière étape du cursus de l'école des Beaux-Arts.
 
 

Laurence vue de dos
 Toile par Olivier

Dès la Renaissance, l'anatomie, indissociable du nu, fait partie intégrante de l'éducation des artistes qui est dispensée par les académies, ancêtres de nos écoles d'art. Habituellement, l'apprentissage commence à partir du dessin d'après l'antique, complété par celui du modèle vivant et, dans la mesure du possible, par l'observation de la dissection des cadavres.
 
 

Fabien au chevalet


 
Afin de mieux saisir toutes les subtilités de la morphologie humaine, du mouvement, des études préalables à la représentation de l'académie analysent en détail toutes les parties du corps avec une attention particulière concernant les muscles et les articulations.
 
 

Laurence par Daniel





Le nu académique lorsqu'il est dessiné peut parfaitement se suffire en lui-même, par contre la mythologie fournit en principe les thèmes de mise en scène du nu peint à travers : Apollon, Ariane, Persée délivrant Andromède, Diane et Actéon ou encore Mars et Vénus. La Bible constitue une autre source d'inspiration avec Adam et Eve, Loth et ses filles, David et Bethsabée, Suzanne et Joachim, les scènes de martyr…
 

 
Croquis couleurs
 
 
 
 
 Initialement, les représentations de nus sont étroitement liées à la peinture d'histoire qu'elle soit antique, biblique ou mythologique. Au XIXème siècle, les orientalistes se distingueront avec des odalisques plus ou moins dévêtues sans oublier les scènes de Harem et de Hammam.  Esquisse avec feutre et acrylique sur papier



L'étude du corps se fait donc d'après nature

Cecile Vilaseque

une exposition a voir jusqu'au 19 janvier 2013 à la maison du citoyen et de la vie associative
 

 Cecile Vilaseque habite à Fontenay et donne des cours à Atelier d'arts plastiques Pierre Soulages à Charenton.



"À la frontière de l’abstraction, la peinture de Cécile Vilasèque crée l’expression d’un monde vital, intérieur"


 Exposition
16 rue du Révérend Père Aubry à Fontenay sous Bois
Ouverture au public du lundi au vendredi de 9h à 22h
Et le samedi de 9h à 12h et 14h à 18h

http://www.cecilevilaseque.fr

mercredi 9 janvier 2013



Prochain modèle le mardi 15 janvier 2013 à 19h

Le nu est peut-être le plus grand défi du dessinateur, de la capacité à faire tenir une forme dans l'espace, à celle de rendre la texture de la peau, des cheveux, à faire sentir une présence, c'est l'occasion de développer un savoir faire complet. Des poses très rapides pour comprendre la composition et le mouvement, plus longues pour densifier son dessin et le complexifier. De multiples techniques de dessin tel que le fusain, le crayon gras ou sec, les pastels, le lavis, l'aquarelle...




 

mardi 8 janvier 2013

Expo d'Hubert CHATIN


Hubert CHATIN expose du 22 janvier au 2 février à la maison du citoyen
16, rue du Révérend père Lucien Aubry à Fontenay sous bois


du lundi au samedi à partir de 9h 



Désobéir (acte I). Collectif d’artistes fontenaysiens. Les œuvres de Luc Arrignon et d’Agnès Bennetot y sont à l’honneur. Jusqu’au 2 janvier 2013 Entrée libre. La Milonga