mardi 29 novembre 2016

Atelier du 29





                  Un secrétaire ou l'encre y ait...

                        Olivier





Bientôt très chouette. 

Cornelia. 



D'ici l'on aperçoit le bois de Vincennes et Paris... 





Daniel et le lion. 





                      Paysage fontenaysien.
Takashi 



Retour dans un froid polaire...

vendredi 25 novembre 2016

Conférence Histoire de l’Art par Emanuela NOT


collage du cours d'Emanuela NOT .

Conférence Histoire de l’Art par  Emanuela NOT  ce Vendredi de 19h30 à 21h30.


Un éclairage sur des grands thèmes de l’art contemporain avec projections et débat...
"la Belle et la Bête" 


  « J’ai toujours et depuis l’enfance rêvé de La Belle et le Bête. Je voulais le dessiner, le peindre, le porter à la scène. En fin de compte, le cinématographe m’apparut comme la seule machine capable de donner corps à mon rêve. » J.C.


La Belle et la Bête  de Jean Cocteau. France, 1946, N&B, 1h40. Avec Jean Marais, Josette Day.
 Un marchand a trois filles. Égaré dans un bois, il cueille une rose appartenant à la Bête qui le menace de le tuer à moins qu’une de ses filles ne vienne prendre sa place.








 « Vous m'apprîtes à démêler les apparences qui déguisent toutes choses. Je sus que l'image trompe, et nos sens et nos cœurs. Vous m'apprîtes encore à ne point suivre les mouvements de l'esprit et que le monde ne me serait donné qu'en pensant (...) Absenté de votre corps d'homme, vous l'exhibiez au gré des tableaux et des rêves afin que j'en recueillisse les images éparses. Prisonnière de votre palais et de sa cour assoupie d'un sommeil minéral, je régnais à mon insu sur votre vie, puisque j'en détenais les fragments jetés de part et d'autre du miroir et que mon amour seul pouvait en rassembler le sens.   Madame de Villeneuve.





La Bête de William H. Robinson (1872-1944)


  La classification Aarne-Thompson 425c



Les repas quotidiens, par Anne Andersen (1874-1931)

 Scène finale illustrée par John D. Batten (1860-1932)




Le conte du La Belle et la Bête est un conte merveilleux de Madame Leprince de Beaumont (1711-1780), institutrice française qui écrivit des ouvrages édifiants pour l'éducation des jeunes femmes et de nombreux contes pour les enfants ; le plus célèbre est La Belle et la Bête, publié en 1757. Elle est l'arrière-grand-mère de l'écrivain Prosper Mérimée. Le thème de la métamorphose en monstre appartient au folklore occidental depuis l'antiquité, avec Apulée. La version de 1757 est une version abrégée d'un conte publié en 1740.




 C'est le texte de Madame Leprince de Beaumont qui a servi de base à toutes les productions littéraires, théâtrales ou cinématographiques qui ont suivi, jusqu'à notre époque. L'héroïne n’est pas une aristocrate, c’est une fille de marchand. Les trois filles qui doivent se sacrifier pour leur père se retrouvent dans la version occitane de Peau d'Âne.



mercredi 23 novembre 2016

Atelier du 23




mardi 22 novembre 2016

Atelier du 22





Encre blanche sur fond noir 




Le bateau des fous.
Stefano. 

mardi 15 novembre 2016

Atelier du 15



Acrylique et encre de Chine.
  Olivier.



Quand vous voulez dessiner d’après le naturel, soyez éloigné de l’objet que vous imitez trois fois autant qu’il est grand ; et prenez bien garde, en dessinant, à chaque trait que vous formez, d’observer par tout le corps de votre modèle, quelles parties se rencontrent sous la ligne principale ou perpendiculaire.
De VINCI



Daniel et les modèles en rouge...





La lampe d'où est sortie Vincent 




Vincent aux pieds rouge 

Stefano 


Fin de soirée et retour à Belleville.